L’ASSE s’est donnée nu moment de soulagement ces derniers jours grâce aux quatre points pris sur six possibles. La victoire face à l’AJ Auxerre a ravivé la flamme de l’amour entre les Verts et leur bouillant public du Chaudron.
Le Chaudron et les Verts : une histoire d’amour éternelle pour l’ASSE
Dans sa chronique hebdomadaire, Didier Bigard revient sur la victoire de l’ASSE face à l’AJ Auxerre et souligne l’importance de l’osmose entre les joueurs et les supporters. Le triplé de Zuriko Davitashvili a été le catalyseur de cette communion parfaite entre le terrain et les tribunes.
L’auteur met en avant la spécificité de Geoffroy-Guichard, un stade où le public et l’équipe ne font qu’un. Il rappelle que cette relation unique est le fruit d’une longue histoire et d’une passion partagée. Les joueurs, de Mekloufi à Davitashvili, ont tous ressenti cette énergie particulière qui anime le Chaudron.
« Quand le chaudron est comme ça, c’est magnifique », a d’ailleurs réagi Aïmen Moueffek tandis que Ben Old est resté sous le charme de l’ambiance du Geoffroy-Guichard. « Je n’ai jamais rien connu de tel », s’était lâché le Néo-zélandais.
Bigard insiste sur le rôle primordial des supporters dans la performance de l’équipe. Leur soutien inconditionnel est une source de motivation supplémentaire pour les joueurs. En retour, les réussites de l’équipe renforcent le lien avec les fans, créant ainsi un cercle vertueux.
Le triplé de Davitashvili est un exemple parfait de cette symbiose. Le joueur géorgien a su profiter de l’ambiance électrique du stade pour réaliser une performance exceptionnelle. Et après la rencontre, il a tenu à remercier les supporters pour leur soutien.