Mercato OL : Georges Mikautadze annonce du lourd avec Lyon

Nouvelle recrue de l’OL, Georges Mikautadze (23 ans) se montre très ambitieux avec son nouveau club. Il promet de casser la baraque à l’Olympique Lyonnais.

Mercato : Mikautadze est de retour, l’OL se réjouit

Georges Mikautadze est revenu à l’OL, son club formateur, neuf ans après son départ de Lyon. Il a été transféré du FC Metz, contre un gros chèque de 24 M€, bonus compris. Le décisif attaquant a signé un contrat de 4 saisons avec l’Olympique Lyonnais, soit jusqu’à fin juin 2028.

Le club rhodanien s’est réjoui du retour du natif de Lyon au bercail, alors qu’il était très convoité en France et en Europe. « Georges Mikautadze a toujours donné sa priorité à l’OL. Son attachement au club et sa grande détermination seront des atouts précieux pour les nombreux défis à venir », a commenté le club de John Textor.

Quant à l’ancien buteur du FC Metz, il souligne l’intérêt que lui a toujours porté son club formateur. Il se dit heureux de revenir à la maison. « J’attendais de voir si l’OL allait venir. J’attendais un signe et ils sont venus, donc je suis content. », a-t-il raconté sur OLTV.

Georges Mikautadze : « Je suis venu pour tout casser »

Ayant passé 7 ans à l’Académie des Gones (2008-2015), Georges Mikautadze n’avait pas joué de match avec l’équipe professionnelle quand il avait quitté le club, à seulement 15 ans. De retour, il veut tout donner pour l’équipe de Pierre Sage. « Je voulais revenir, car je n’ai pas terminé mon histoire à Lyon. Je suis donc venu pour tout casser », a-t-il promis aux supporters lyonnais, tout en rappelant : « J’avais un rêve, c’est de signer à l’OL. Ce rêve est accompli et maintenant, il faut travailler ».

Un retour à l’OL sans rancune !

En tout cas, l’international Géorgien (29 sélections, 13 buts) est revenu dans son club de cœur, sans rancune, relativement son départ forcé en 2015. « J’aurais aimé continuer au club, mais les chemins se sont séparés. C’est sûr que j’ai pris un coup au moral, mais ça m’a aussi aidé à forger mon mental. […]. Je n’ai jamais gardé d’amertume de ces moments ».